Chim
Việt Cành Nam
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La paix est fondée sur le sentiment d'amour, la guerre sur le sentiment de haine. Le point commun de ces deux sentiments yin yang est la conquête de l'Autre, ou bien dans la construction-conciliation avec autrui, ou bien dans la destruction-soumission. On emploie dans le premier cas, la puissance de la persuasion pacifique, et dans le second cas, la force belliqueuse. Pour l'un, on attend une délibération ; pour l'autre, on supporte une aliénation. Cette dialectique yin yang peut faire croire que les Forts triompheront toujours sur les Faibles mais l'apparence est trompeuse car la haine produit de la haine. Les hommes ont toujours besoin de solutions tierces pour se refaire une entité et il n'y aura jamais de " solutions finales " d'éradiquer un problème humain. |
Quelle est la psychologie politique de la haine ? |
Chez l'homme, le sentiment
de haine de soi - dans sa forme plus atténuée, la déception de soi -
est un sentiment de répulsion qui se trame au profond de soi quand nous
désespérons de ne pas réaliser nos grands idéaux ou de ne pas les voir
se réaliser. Parfois, ce sentiment s'organise au niveau collectif en un
sentiment politique de haine de l'Autre, allant jusqu'à désigner des
adversaires et commettre des actes de génocide, voire d'ethnocide au nom
d'un idéal absolu de pureté. C'est cette fascination d'un absolu mais
taché de sang qui mène certains peuples vers un suicide collectif sans
nom par une escalade de violences purificatoires auto-justificatives.
Le genre humain a toujours eu le besoin de maîtriser sa vie et son avenir, de prévenir et lutter contre l'inconnu et d'anticiper l'épreuve de temps qui annonce la fin des choses. Cette angoisse existentielle appartient au devenir humain mais produit un sentiment étrange d'être étranger à soi-même à cause de la non maîtrise de la vie et de la mort. L'homme porte toujours une peur de sa disparition et de la disparition de son groupe avec celle de perdre son identité dans la folie. C'est ainsi que le genre humain réagit contre cette angoisse d'avenir de trois manières imbriquées, mélangées. D'un côté, chasser cette inquiétude de l'imprévisibilité humaine hors de soi. C'est la tendance au conservatisme. D'un autre côté, créer une foi dans des systèmes de pensée, y compris les sciences, les idéologies et les religions. C'est chercher une méthode. Enfin, agir, créer et inventer des nouveautés pour le bien-être. C'est la tendance au progressisme. Cette répulsion du négatif et la foi positiviste représentent les deux faces Yin Yang qui donnent accès à une confiance dans le progrès humain, c'est-à-dire la perfectibilité des hommes de leur situation. Cette inquiétude d'avenir sera à l'origine des évitements, des phobies - la xénophobie - mais aussi de la honte de son impuissance. Cette situation psychologique serait destructrice si elle n'est pas recouverte par la pulsion de préserver, de donner et enfin de transmettre la vie, c'est-à-dire l'amour et l'éthique. C'est dans ces conditions que le sentiment d'intégrité et le concept de Corps - corps individuel, corps social, corps historique - vont expulser vers le dehors sa part néfaste pour sauvegarder sa pureté et son entité. Cette projection de la haine de soi hors de soi trouve ainsi un exutoire en l'Autre qui, par sa différence, peut porter le jugement du désagréable et de l'impur. Il y a une conversion en miroir de la haine de soi en une haine de l'autre, d'abord pour chasser la peur de la mort et du suicide et ensuite pour donner une parade contre l'Autre qui aurait pu avoir cette même haine en lui. Dans cette projection, le principe humain de la réciprocité avait renversé aussi en miroir le sentiment d'amour de son alter ego en un sentiment de méfiance plus visible. C'est ainsi que la peur en soi-même voudrait entretenir le climat de peur chez l'autre. Commence le positionnement de l'Autre dans les espaces culturels et sociaux à partir des pensées politiques ambiantes et dominantes. Celui qui n'est pas comme moi ou avec moi, est - peut-être - contre moi, c'est-à-dire chercher et déterminer qui est l'ami et qui est l'ennemi alors que ce " peut-être " est inquiétant. Entre qui est ami et qui est ennemi, on cherche des alliés, on trouve des adversaires et on crée des alliances pour être forts ou légitimes. Dans cette institutionnalisation de l'Autre, il y aura bien un effet d'influence de l'identité politique - ami ou ennemi ? - sur une redéfinition de l'identité personnelle. C'est le risque de diabolisation de l'Autre qu'en même temps, la constitution d'un narcissisme collectif - le chauvinisme - avance masqué vers l'idée d'un patriotisme idéologique ou idéologisé pervertissant les impératifs universels que sont la Patrie, la Nation, la Civilisation, la Paix, la Tolérance, l'Amour. Usant de l'antagonisme entre l'amour de soi et la répulsion de l'autre, la société économique se nourrit des frustrations populaires en construisant des corps d'appartenance aux conceptions d'avenir et d'intérêts différents voire divergents. La rivalité sociale est inhérente à une société hétérogène de classes sociales, et elle excite sa propre violence qui serait destructrice s'il n'y a pas de limites. C'est là où la culture marque sa place. La culture civilise la violence sauvage des hommes par l'institutionnel qui pose le cadre et impose des normes du " Vivre-ensemble ". Cette violence ceinturée par la culture a une fille qui s'appelle la lutte politique et la violence d'Etat qui savent jouer avec les notions de légalité et de légitimité. Ce sont des références qui engagent le sens de la loyauté réciproque entre le peuple et ceux qui le représentent : les hommes politiques et ses intelligentsia. Ces deux notions sont si voisines que le corps politique et la société civile peuvent les confondre utilement. Et il y a bien des régimes politiques légaux ou des gouvernements réguliers mais foncièrement illégitimes ou progressivement devenus illégitimes. Et c'est là où l'expérience des peuples apporte leur tradition politique pour comprendre le sens d'une légitimité historique ; qu'il serait bon d'en débattre dans un monde multilatéral ouvert entre l'Occident et l'Orient. La tradition hellénique occidentale avait travaillé et affiné le concept de Démocratie et de pratiques politiques face à la violence personnelle, sociale et institutionnelle. La Démocratie impose un ordre politique ; elle organise et contrôle rituellement le contrat de hiérarchie entre les forts et les faibles - entre la majorité et la minorité -. Or rien ne prouve que la majorité a toujours raison, ni que la minorité a toujours tort avec le temps. Le principe du renouvellement et de la mutation est donc essentiel pour tester la Vérité politique non théologique. La délibération politique atténue le rapport de force pour que la Nation que représente la Démocratie au nom du Peuple, dispose de ses vérités d'avenir. Parallèlement, le principe démocratique porte symétriquement le principe de la Démagogie qui appelle à faire des promesses électorales et des surenchères de rapport de force pour plaire au peuple. C'est pourquoi, la Démocratie tolère un certain désordre laxiste dans son ordre administré qu'on croit que la démocratie est équivalente à la liberté pure. En Orient, la connaissance de cette démocratie hellénique est toute jeune, souvent importée de l'Occident par les guerres. Et gagner une guerre n'apprend pas les méthodes d'administrer une paix. Puis il y a une relecture moderne des traditions politiques (*) fondées sur les trois principales philosophies classiques que sont le Confucianisme, le Taoïsme et le Bouddhisme. La notion centrale et commune de ces enseignements est la morale personnelle, sociale et politique autour de l'Ethique publique. Elle doit être l'expression sublime de l'amour du sens commun, le ciment de la solidarité nationale et de la confiance publique. Que disent ces enseignements ? D'une part, n'importe quel homme peut avoir accès à la Réalité, et être éveillé à la Vérité selon Bouddha. C'est-à-dire l'équité des hommes. Ensuite, entre deux Vérités, personne ne peut prétendre que la sienne sera meilleure que celle du voisin selon les Taoïstes. C'est-à-dire la liberté de pensée et de délibération des hommes. Enfin, les hommes se parlent et vivent ensemble parce qu'ils sont respectueux, fraternels et consensuels selon Confucius. Ainsi, entre l'Occident et l'Orient, la pratique de la Liberté, de l'Egalité et de la Fraternité n'est pas uniquement juridique. Elle ne sera humaine et sereine qu'associée au sens de l'Harmonie, du Raisonnable et du Concevable qui lient les hommes. Par conséquent, la lutte politique se mesure dans la conciliation du principe d'une démocratie participative, avec l'axiome de l'Harmonie sociale dès lors que cette conciliation se rapporte à l'éthique commune du Bien public de la Nation. L'altruisme est un devoir moral qui aura le dessus sur les égotismes doctrinaire, social et clanique (la corruption). La ligne de clivage conceptuel entre l'apport occidental et la tradition politique orientale concerne la définition du couple unité/entité : un pays = une nation = une élite (hétérogène mais rassemblée dans une même organisation) = une pratique politique dominante du moment, ou bien un pays = une nation = une élite (hétérogène avec des sous-élites en compétition ouverte et visible) = une pensée dominante avec une multiplicité de pratiques sociales exposées au marketing politique. Cette notion du Bien commun est consubstantielle de celle de la Nation comme la source concrète de ses idéaux universels. Dans la mesure où l'idéologie veut parler seule au nom du Peuple, chaque idéologie est toujours tentée de privatiser ce Bien commun comme son produit exclusif, sans alternative. Le monde contemporain nous apprend au moins deux facettes de la culture politique occidentale. 1) L'idéologie marchande outrancière réduit les hommes à être des mannequins consommables, des variables d'ajustement d'une économie financière qui commande les choix politiques et sociaux. Certes, les hommes naissent égaux en droit mais ils ne sont ni égaux en pouvoir, ni en devoir dans leur citoyenneté. L'éthique humaine d'équité est laminée par une phraséologie personnaliste sur le confort, le bonheur et le quant-à-soi qui maquille une peur profonde de manquer pour vivre. Le social est clivé entre les très riches toujours silencieusement plus riches et les autres qui supportent une menace silencieuse de perte d'emploi, de rétrogradation de ses compétences. Bref, la peur est intériorisée, endogène nouée par le sentiment de culpabilité. 2) L'idéologie stalinienne est une source de chaos puisque le paradis laïc sur terre sans classe sociale est un leurre pour justifier la notion d'un ennemi intérieur qui entretient la suspicion haineuse et empêche les hommes de penser. Une telle société se militarise pour tenir l'obéissance aveugle des gens par la peur. A moindre frais, ce sera une société policière, le contraire d'une société policée. Bref, la peur est exogène ; elle vient de l'extérieur, nouée par le sentiment de honte. Il peut donc y avoir des idéologies extrémistes et élitistes cachées, fondées sur la peur qui méprisent l'humain, qui condensent la haine de soi en haine sélective, classe contre classe, bloc contre bloc, gauche contre droite fonctionnant sur la domination d'un gagnant sur un perdant : ou bien les hommes sont des objets qui ne veulent pas se laisser détruire, ou bien l'homme est un loup pour l'homme, ou bien le fort et la masse écrasent le faible et le petit tas, ou bien la grosse fortune abuse de la confiance de l'épargnant anonyme, besogneux et ignorant. C'est pourquoi, nous ne dépasserons jamais la logique de haine sociale par la dénonciation des violences illégitimes si nous opposons constamment la crainte à la haine, la méfiance à la défiance, et faisons la guerre à la guerre pour avoir la paix. La haine de l'autre se retournera contre soi comme une nouvelle forme de déception de soi, et c'est là les ressources des extrémismes. L'histoire des nations révèle qu'à un moment ou à un autre, elles ont eu à faire face à une épreuve de guerre civile pour nouer le lien d'identité. Si une telle épreuve surgit encore ici ou là, il faut craindre qu'elle soit le prélude d'un lent suicide collectif. La Nation doit savoir transcender les idéologies politiques qui troublent le peuple par ses clivages d'intérêts, et réaliser ses pulsions de progrès sans diaboliser l'histoire, les autres et ses adversaires. La Nation est un bien commun qui construit l'unité dans la différence, l'intégrité dans la diversité et l'amour de son prochain dans la tolérance réciproque. L'ennemi devient une idée qui ne fait plus recette car cette idée est une pétition de principe pour nous faire savoir que l'autre est notre miroir, qu'il est notre semblable mais différent de nous-mêmes, qu'il n'est ni un sous-homme, ni un étranger dangereux, ni le diable incarné de l'impur. La politique joue la différence entre les hommes jamais prêts à composer avec leurs semblables. C'est pourquoi l'art peut apporter une harmonie qui dévoile l'intimité esthétique de l'homme d'accepter la différence chez son semblable. L'art et la culture sont les vraies richesses qui construisent la Nation contre l'idée de guerre qui cherche à la déconstruire. |
Le concept de Concorde et de Réconciliation à la lumière des Accords de Paris de 1973 sur le Vietnam. |
Une guerre ou une
situation de conflit ne peut jamais perdurer pour le bien de la Nation
sauf si elle alimente des intérêts autres cachés, notamment une industrie
militaire ou les bénéfices d'un clan.
Les Accords de Paris sont en fait un accord d'armistice de cessez-le-feu que l'histoire contemporaine a entériné comme un Accord de Paix. La vraie paix au sens militaire du terme sera effective 2 ans après, en 1975 ; la réunification viendra en 1976 avec un gouvernement, une capitale unique. La décision de tenir la Conférence de Paris dès 1968, tenait d'un double constat : avec l'attaque généralisée des grandes villes par des forces du Gouvernement Révolutionnaire Provisoire (1968 lors de la fête du Têt, le Nouvel An), on sait qu'il n'y aura pas de victoire militaire totale sur le champ de bataille, mais aussi jamais d'insurrection révolutionnaire dans les villes. Il fallait une solution politique et non militaire pour que les Etats-Unis quittent le pays dans la dignité. C'était la " vietnamisation " de la guerre. Entre temps, l'opinion publique internationale se cristallise autour du Vietnam comme le nouveau paradigme du combat légitime de David contre Goliath, et de libération des hommes. A la table de la Conférence, il y avait formellement deux camps ennemis : d'un côté les Etats-Unis et la République du Vietnam (Saïgon) et de l'autre côté la République Démocratique du Vietnam (Hanoï) et le Gouvernement Révolutionnaire Provisoire du Sud Vietnam (dit le Viet-Cong). Avec la durée de la Conférence, l'âme vietnamienne voit apparaître progressivement, une deuxième ligne de séparation : d'un côté les Etats-Unis qui veulent se désengager dans l'honneur ; de l'autre côté, l'attente des Vietnamiens de régler les affaires entre eux. Le concept d'ennemi se métamorphose en un ressentiment d'ordre culturel et affectif par-delà la frontière idéologique vers une certaine idée d'être entre soi, chez soi sous le même toit, et qu' " on lave le linge sale en famille " selon une expression française. Pour transcender et dépasser l'opposition radicale ami-ennemi du champ de guerre, il y avait de fait, un Tiers qui offre une synthèse, un concept opérationnel et un terrain de jeu pacifié. C'est ainsi que la Conférence de Paris puis les Accords de Paris vont reconnaître un absent de la négociation qui existe sur le terrain. C'est la formalisation de la " Troisième force ", ce Tiers qui remplit la fonction symbolique de médiateur dont la composition était hétéroclite, non organisée, avec des leaders laïcs, intellectuels, religieux mais tous animés d'une même volonté de paix et de non-violence. C'est la reconnaissance avant l'heure, de la puissance d'une " société civile " et d'une " opinion publique ". Ainsi apparaissait avec la vietnamisation américaine de la guerre, un mouvement pacifiste dit " Nhạc Vàng " (ou Musique d'Or/Jaune) dont le poète chanteur Trinh Công Son a été et reste une personnalité-phare. Le terrain de jeu s'étoffe maintenant dans le domaine artistico-culturel bien que soumis aux manipulations patriotiques et à la " guerre psychologique ". Les Accords de Paris identifient le concept psycho-politique de la Concorde et la Réconciliation nationale comme le lien réparateur de cette guerre fratricide. Ces Accords ne diront pas les modalités pratiques et effectives de son application qui sont hors champ d'un accord de cessez-le-feu, étant entendu que cela devrait se régler pacifiquement " en famille ". Les concepts de Concorde et de Réconciliation nationales se placent donc comme la synthèse de la discorde nationale pour réunir des partenaires opposés. Cela transcende - en principe et comme une vertu - l'idée d'un ennemi traître qu'on aurait dû détruire ou réduire, et en même temps, entre le Bien et le Mal émerge l'idée pure d'une Nation unique. Dit autrement, ce double concept est l'expression d'une nation fracturée en mouvement de se redonner un même avenir, et en même temps, celle d'une entité culturelle diversifiée capable de régler ses conflits en interne et sans ingérence étrangère. Restera sa mise en application selon les options idéologiques. En tout état de cause, le concept de Concorde et de Réconciliation nationales serait le seul lieu de passage pour définir la légitimité d'une paix interne, à la source d'une paix civile où les citoyens seront désormais égaux devant l'histoire. Dit autrement, la paix prendra définitivement le dessus sur la guerre quand les notions de Nation, de la Concorde et Réconciliation nationale qui maintiennent la Nation comme entière, arrivent à se placer au-dessus des idéologies. Les rivalités entre " droite-gauche " ou " conservateurs-progressistes " peuvent abuser de la fracture démocratique - majorité versus minorité - pour pratiquer un marketing politique par démagogie sur les thèmes chauvinistes. Dans cette situation, la Nation ne sera jamais tranquille puisqu'elle a été réduite à être la propriété partisane d'une organisation. Or, l'idée de Nation appartient à tous, pas à une fraction qui se la légitime par un vote ou par une transmission légaliste. |
(*). En vietnamien,
les concepts abstraits sont souvent métaphoriquement exprimés selon un
rapport Yin Yang/Âm Dương interne et externe. Ainsi Guerre/Paix, c'est
" Chiến-tranh/Hoà-bình ", Violence-départage/Mélange-équilibre.
Haine/Amour, c'est " Hạn-thù/Thân-yêu ", Récriminer-haïr/Proximité-aimer.
Politique, c'est " Chính trị ", administrer par l'essentiel/le principal/le
central.
Auteur
: Dr. LUONG Cân-Liêm, M.D., Ph.D. Psychiatre, Dr en Psychologie.
75 avenue d'Italie 75013 Paris. luongcanliem@gmail.com |
Bibliographie personnelle : |
Bouddhisme et Psychiatrie,
1992. Paris, L'Harmattan.
Psychothérapie bouddhique. Méditation, éthique, liberté, 2002. Paris, L'Harmattan. Psychologie politique de la citoyenneté, du patriotisme, de la mondialisation. Sept études cliniques, 2002. Paris, L'Harmattan. De la psychologie asiatique. L'humain, le politique, l'éthique, 2004. Paris, L'Harmattan. Psychologie transculturelle et psychopathologie. Occident et Asie orientale, 2006. Paris, You Feng. Conscience éthique et Esprit démocrate. Etude sur l'harmonie et le politique. 2009, Paris, L'Harmattan. Expériences psychologiques de Bouddha Siddharta Gautama et du Bouddhisme, 2013. Paris, L'Harmattan. |
Ouvrages collectifs : |
Enfance : état de
lieux. Le Vietnam au cœur de la Francophonie, 1998. Paris, L'Harmattan.
Dictionnaire des thérapeutiques médicopsychologiques et psychiatriques, 2001. Paris,Ellipse. Manuel de psychiatrie transculturelle. 2e édition. Sous la direction de M.R. Moro, 2006-2007. Paris, La Pensée sauvage. Précis d'expériences transculturelles. Cliniques de l'enfance et de l'adolescence en France et au Vietnam, 2012. Paris, Les Editions du journal des psychologues. |
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